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  • Toutes sortes de choses qui étaient implicitement attachées à l’idée d’humanité disparaissent silencieusement : l'Écologie Humaine

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    Le mouvement écologique est né d’une prise de conscience des impacts graves et irréversibles des activités humaines sur la nature. Lorsque nous disons "activités humaines", nous pensons à un certain mode de développement industriel et technologique qui s’est développé d’abord en Europe depuis environ deux siècles, puis dans le monde à travers différents systèmes politiques et aujourd’hui essentiellement dans un contexte libéral et financier mondialisé.


    UNE REMISE EN CAUSE NÉCESSAIRE

    Pour autant, le projet est-il de protéger la nature contre l’homme ? Lorsque nous affirmons que : "Nous croyons toujours que la réconciliation entre la société contemporaine et la nature reste possible", nous voulons affirmer notre conviction qu’il est possible d’inventer et d’expérimenter de nouvelles formes de vivre et de décider ensemble au plan local, national et international pour favoriser une relation harmonieuse entre les communautés humaines, leurs activités et la nature. En disant cela, nous sommes conscients des profondes remises en cause de nos modes de vie, de nos formes de confort, des formes de production et de consommation qui les caractérisent aujourd’hui. Mais notre conviction se fonde aussi sur l’existence de nombreuses innovations et initiatives sociales, professionnelles, coopératives, artistiques, inventions de nouvelles formes d’habitat, de production, d’échange, de mise en commun qui contribuent à renouveler la façon dont nous pouvons penser un mode de vie contemporain en harmonie avec la nature.

    Dès les débuts du développement industriel, les structures sociales et économiques traditionnelles ont été profondément ébranlées affectant gravement les conditions de vie et la dignité de nombreux êtres humains. Aujourd’hui, nous constatons encore chaque jour l’impact du développement de l’économie libérale mondialisée sur les communautés humaines dont la prise en compte rentre pleinement dans le champ de l’écologie humaine.

    PRENDRE LA MESURE DE LA MENACE QUI PÈSE SUR L’HOMME

    L’écologie humaine que nous souhaitons promouvoir veut en particulier et de façon spécifique mettre l’accent sur la menace qui pèse aujourd’hui sur la nature de l’homme. Cette fois-ci, la menace ne concerne pas seulement les plus vulnérables des hommes mais aussi l’humanité. C’est cette prise de conscience qui nous semble être en jeu dans le mouvement actuel en France, au delà du contexte politique et législatif. Lorsque les hommes ont mis le pied sur la Lune, ils ont tout à coup vu la Terre, notre biosphère, comme quelque chose de petit dans l’univers, de fragile. Aujourd’hui nous prenons conscience que toutes sortes de choses qui étaient implicitement attachées à l’idée d’humanité disparaissent silencieusement ; comme certains papillons qui ont progressivement disparu.

    Il nous semble important d’affirmer que cette menace, ces risques qui pèsent sur l’humanité sont la résultante d’un ensemble de micro-décisions et macro-décisions, souvent indépendantes, qui font que progressivement la notion d’humanité est altérée, remise en cause. Nous devons tous nous interroger sur notre façon de vivre, sur nos priorités, sur nos responsabilités à cet égard.

    Nous devons faire ensemble un état des lieux, nous interroger sur ce qu’est pour nous l’humanité, accueillir cette réalité qu’est l’humanité avec émerveillement (certains diront gratitude), nous interroger sur les conditions d’une humanité authentique, ce qui est durable dans cette notion et ce qui est plutôt le fait du temps, des préjugés. Il faut discerner ce que nous souhaitons préserver et transmettre aux générations qui nous succéderont. En particulier, dans une époque marquée par l’idéologie libérale et individualiste, nous devons nous interroger sur ce qui est commun dans la notion d’humanité. L’humanité est une réalité individuelle et collective. Nous ne pouvons pas seulement interroger nos désirs personnels, nous devons tous nous interroger à l’échelle de notre dimension d’humanité pour identifier ce que nous devons respecter et préserver ensemble pour sauvegarder cette humanité authentique. En tant qu’être humain, nous portons une responsabilité commune, nous avons la garde de l’humanité, nous ne pouvons pas nous contenter d’observer ce qui se passe et de constater passivement ce changement, nous devons prendre nos responsabilités. Il s’agit de s’opposer à l’obscurcissement de l’humanité.

    Notre propos à ce stade n’est pas d’imposer une voie ou une autre (la décroissance par exemple) mais de créer les conditions d’un débat ouvert entre différentes composantes sociales, différents écoles de pensée, différents groupes de recherche.

    REPENSER LA TECHNIQUE

    Il ne s’agit pas non plus de prendre position pour ou contre la technique. Nous souhaitons au contraire affirmer la nécessité de "repenser la technique" pour mettre celle-ci au service de l’homme au rebours de la situation présente qui voit l’homme asservi par le développement technique. Mais ceci nous conduit d’abord à interroger la justification de tel ou tel développement technique et les conditions de sa contribution au bien commun. Ce qui doit d’abord être questionné c’est le projet de ceux qui cherchent à imposer un développement technique pour servir des enjeux qui n’ont rien à voir avec le bien commun.

    VERS UNE NOUVELLE ÉCOLOGIE

    Lorsque nous indiquons que "Dès lors que l’homme n’est qu’un matériau (…) les politiques environnementales en viennent à protéger la nature au détriment de l’homme", nous souhaitons souligner l’ambiguïté du statut de l’homme et de l’humanité dans le mouvement actuel de l’écologie. Il est bien connu que certains courants, comme celui de l’écologie profonde, mettent la priorité sur la défense de la biosphère sans donner de statut particulier à l’homme, et même, dans certains cas, voient dans l’homme la principale menace contre la nature. Par ailleurs, les politiques publiques environnementales se situent dans une logique d’instrumentation de l’action humaine qui vise à orienter cette action humaine par la contrainte réglementaire, ou par l’incitation économique (où chacun agit dans son intérêt privé pour servir une priorité qui est déterminée par d’autres). Dans ces politiques, il ne s’agit pas de créer les conditions pour que les hommes reconnaissent la nature comme un bien commun et agissent individuellement et ensemble pour en prendre soin. N’est-ce pas d’ailleurs la même logique qui risque de conduire la loi Peillon à promouvoir une véritable morale d’Etat qui est censée se substituer à la morale commune dans une défiance profonde vis-à-vis des parents et des valeurs qu’ils souhaitent transmettre à leurs enfants ? Ce n’est peut-être pas son intention, mais c’est ce que certains en déduisent.

    « LA PUISSANCE NAIT DU RASSEMBLEMENT DES HOMMES »

    Le courant de l’écologie humaine dont nous accompagnons la naissance nous semble devoir se situer dans une logique coopérative. Nous souhaitons d’abord lancer un appel à l’initiative de pensée, de dialogue, d’action, locale, nationale, internationale, sectorielle, globale, de tous ordres. Comme le dit Hannah Arendt : "La puissance nait du rassemblement des hommes". Il faut d’abord nous rassembler et construire ce qui nous est commun. Dans cette première étape d’état des lieux, il ne s’agit pas de chercher un consensus mais de croiser la pluralité des regards, des sensibilités des différentes composantes humaines qui souhaiteront s’engager dans ce mouvement, sans préjudice de leur propre position. L’image est celle d’une ruche neuve et vide posée par l’apiculteur à côté d’un essaim sauvage qui vient alors s’installer et s’auto-organiser dans cet espace.

    GILLES HERIARD DUBREUIL de l'Écologie Humaine
    http://www.ecologiehumaine.eu/gilles-heriard-dubreuil/ 

     

     

     

     

  • Le Peuple français fait face à une entreprise totalitaire

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    Le 25 Mars 2013 par Henri Hude

    La plus grande manifestation de l'Histoire de France
    « Voici mon commentaire de la manifestation du 24 mars 2013.
    Je m'exprime ici en tant que citoyen et en tant qu'universitaire français, dans la plénitude des droits et devoirs attachés à cette qualité, exerçant aussi ma responsabilité intellectuelle et sociale d'écrivain, d'homme de science et de philosophe.
     

     

    Paris vient d’accueillir la plus grande manifestation populaire de toute l’Histoire de France

    Beaucoup pensaient que son ampleur n’égalerait pas la première : c’était une erreur. Cette manifestation du 24 mars 2013 confirme donc et renforce les enseignements de la précédente. Le 13 janvier, nous étions un million, nous avons atteint sans doute le million et demi, la prochaine fois nous reviendrons deux millions. Ne parlons pas des évaluations du Pouvoir et du Léviathan médiatique : le Docteur Goebbels n’est pas mort. Cette observation nous met au cœur du sujet : le Peuple français se trouve en face d’une nouvelle entreprise totalitaire. En quoi consiste-t-elle ?

     

    Comme dans toute idéologie, il y a au principe une volonté arbitraire d’indépendance absolue

     

    L’idéologue des Démons de Dostoïevski en a donné pour toujours la formule achevée : « Je commence avec la liberté absolue et j’aboutis à la dictature parfaite. » C’est la logique de Robespierre. C’est la logique de Lénine. C’est la logique de Peillon, c’est celle de Taubira. C’est la logique totalitaire, partout et toujours, qui produit toujours le même résultat, le despotisme, en vertu d’une force des choses. Car il s’agit de transformer un Peuple en une Communauté de transgression, menée à la baguette par une secte d’idéologues.

     

    Ce que les totalitaires nomment « égalité », ce n’est pas la justice, dont ils se moquent. C’est une sorte de religion

     

    C’est une communion transgressive entre dévots de la liberté absolue. Cette communion se réalise toujours par une action politique, symbolique et sacramentelle, qui peut être le meurtre d’un monarque ou l’assassinat d’une classe, le renversement d’un autel, la suppression de la propriété privée, ou l’élimination d’une race. Ce pourrait être aussi l’infanticide, ou le suicide, ou le parricide collectif. De notre temps, un parti-secte a décidé l’abolition du couple et de la famille. C’est là son sacrement. C’est là son culte. C’est sa communion, son Egalité. C’est là qu’il jouit et s’adore. Et, comme toujours, l’Homme est sa victime.

     

    Les idéologues forment une secte

     

    La secte engendre un parti totalitaire. Le parti manipule la démocratie, l’annule, domine l’Etat. L’Etat absorbe la société. Toute opposition est broyée. La secte est heureuse.

    Malgré leur unanimité, les idéologues divergent. Chacune des passions qui se disputent le cœur humain fabrique sa propre idéologie. Toutes unies pour détruire l’Homme et sa liberté, les idéologies se font des guerres plus inexpiables encore que ne firent jamais les religions.  

     

    Il est totalement inutile de raisonner avec les idéologues. Car ce qui est perverti, chez eux, c’est la raison

     

    Celle-ci devrait être le moyen de résoudre nos problèmes. Investie par l’idéologie, c’est la raison qui devient le cœur du problème et le fondement même du totalitarisme. Le pouvoir de questionnement radical est le fondement de l’esprit scientifique et la base de la philosophie. C’est ce questionnement qui rend l’Homme sûr à la fois de la vérité et de sa liberté. Car il n’y a pas de réponse, pour qui n’a pas de question. Mais chez les idéologues, ce pouvoir de questionner devient une méfiance paranoïaque, une manie de douter, une rage de nier, un besoin de se refuser. La raison devient folle et s’endort, « engendrant des monstres » : moule à préjugés, machine à systèmes, prétexte à bourrer le crâne et à interdire de questionner. Puisque le peuple désormais pense comme nous, il n’est plus nécessaire qu’il pense. L’important est qu’il communie dans notre Egalité de transgression. Telle est l’idéologie.  

     

    Le Peuple français fait face à une entreprise totalitaire

     

    Nous n’assistons plus au déroulement d’un jeu politique ordinaire. Le Peuple n’est pas même en face d’un coup d’Etat permanent. Il fait face à une entreprise d’usurpation visant à lui imposer une autre constitution – plus encore, une autre constitution anthropologique. Nous sommes en face d’un pouvoir législatif qui usurpe le pouvoir constituant et qui l’usurpe absolument. Nous sommes en face d’un pouvoir constituant mégalomane et illégitime, qui prétend changer la nature humaine, la manipuler à sa guise, se saisir des esprits, embrigader la jeunesse et réprimer toute dissidence. Nous sommes bien en présence d’une entreprise totalitaire. L’heure est donc à la Résistance, jusqu’à la Libération, et à la Renaissance.

     

    Quelle est la force réelle de l’entreprise totalitaire ? Elle est faible ! Et le Peuple est fort !

     

    Le Peuple prend de plus en plus conscience de sa force et de sa résolution. Il y avait hier à Paris une représentation d’une bonne moitié de l’élite française, pour réclamer un pouvoir qui respecte la famille. Et il y aurait pu y avoir en même temps un autre million et demi entre la République et la Bastille, pour réclamer un pouvoir effectivement social, qui défende le travail des Français. Il est probablement inévitable que les deux mouvements finissent par converger contre le totalitarisme nihiliste et l’oligarchie, non seulement en France, mais peu à peu dans toute l’Europe, et, on l'espère, aux États-Unis. 

     

    Le pouvoir devrait prendre conscience de sa faiblesse

     

    D’abord, il ne vit que d’emprunts. Les banques, l’an dernier, n’ont plus acheté ses bons du trésor. Elles ont été remplacées par l’intervention de fonds souverains asiatiques et moyen-orientaux. Si les émirs ne lui font pas un chèque toutes les trois semaines, si les Français n’achètent plus d’assurance-vie, le pouvoir est en cessation de paiements. Ce pouvoir déjà dans la main de puissances étrangères serait à la merci d’une grève de l’impôt.

     

    Ensuite, ce pouvoir est sans appui démocratique et populaire. Le système médiatico-partisan est encore monté de telle sorte que le fonctionnement biaisé des institutions lui permet de conserver encore une apparence démocratique. Mais l’opinion publique est clairement consciente du caractère désormais non représentatif du régime.

     

    Ce pouvoir a perdu le peuple. Impuissant, ou complaisant, ce pouvoir semble n'être là que pour laisser faire l’argent et laisser mourir le travail. La France est ainsi privée de capitaux qui vont égoïstement s’investir là où est possible une inégalité maximale, accroissant aussi maximalement l’inégalité en France. Pour cette raison, le pouvoir a perdu le peuple, les pauvres pullulent, auquel il refuse l’égalité économique et la dignité du droit au travail.

     

    Ce pouvoir qui est si dépendant des grandes compagnies internationales, persécute le petit et moyen patronat, seul qui investisse encore dans ce pays pour y donner du travail à nos compatriotes.

     

    Ce pouvoir va perdre mêmes les fonctionnaires, qu’il va devoir tondre à leur tour, et licencier, pour obéir aux ordres des syndicats d’usuriers et de leurs fondés de pouvoir (OMC, FMI, etc.).

     

    Avant d’en venir là, il va mettre en péril la sécurité de la France, en abaissant follement le niveau de nos forces armées.

     

    Quelle honte que le nom de « socialisme » en soit venu à désigner ce qu'on aurait cru son contraire : cette « soif de l’argent qui gangrène le monde » (François, 24/03/2013), et l’individualisme radical.  

     

    Ce pouvoir n’a même pas la force physique entre ses mains. Quel officier de gendarmerie, quel officier de police, commandera de matraquer un peuple non violent, le jour où, par dizaine de milliers, sans violence, sans porter de coup, mais juste en avançant, et décidés à se laisser au besoin frapper sans reculer, comme faisaient les Indiens menés par Gandhi, il avancera, déterminé à sauver sa liberté, son travail, sa dignité d'homme et de femme, et franchira les barrières ? 

    Le pouvoir voudrait salir le Peuple et lui prêter des sentiments de haine ou de discrimination, juste parce qu’il n’a rien à faire de son idéologie

     

    Mais voilà que les nihilistes se trouvent désarmés, dépités, en présence d’une amitié naissante et rayonnante entre tous ceux qui, aussi différents soient-ils, ont en commun de refuser la persécution et la normalisation idéologique. Les Français veulent tout simplement demeurer des hommes et des femmes, tels que les a faits la nature, ou tels que les faits Dieu, et tels que la raison leur conseille de demeurer, avec son bon sens si bien partagé.

     

    Le pouvoir est faible parce qu’il cimente contre lui l’unité du peuple en sa diversité. Le Peuple découvre avec stupeur que la laïcité aux mains des totalitaires s’est muée en fanatisme idéologique. Le despotisme fabrique ainsi contre lui-même une fraternité nouvelle et jusqu'alors inconnue de toutes les religions et de toutes les philosophies, autant que de toutes les races. Il ne pourra plus la dissoudre. 

     

    Ce pouvoir n’a pas de force, car il a déjà perdu sa légitimité profonde

     

    Le pouvoir détruit le travail. Il entend en outre détruire le mariage et la famille. Ce pouvoir qui démolit les cadres moraux les plus essentiels est incapable, par suite, de lutter contre l’insécurité croissante. Et ce sont des gens-là qui prétendent, en plus, faire la morale aux jeunes et leur bourrer le crâne avec des folies idéologiques, comme si on était en Chine populaire ?

     

    Le pouvoir est failli. Il menace de jeter la France dans une guerre lointaine, probablement pour complaire aux puissances dont les financements prolongent sa survie. Et c’est ce même pouvoir, parvenu à l’extrémité du discrédit possible, qui se lance dans une entreprise totalitaire et prétend passer avec mépris le licou à des millions et des millions de Français, juste parce qu’il est habile à manipuler les médias et le système des partis ? Eh bien cela ne sera pas !

     

    Ce pouvoir dresse désormais contre lui et les conservateurs et le peuple, au moins la moitié de l’élite et de ceux qui payent les impôts et souscrivent aux emprunts d’Etat.

     

    Si les forces populaires ont de la présence d’esprit, elles comprendront que le moment est venu et que c’estmaintenant qu’elles peuvent renouveler le syndicalisme et sauver le travail. Elles ne le sauveront qu’en juxtaposant à la Manif pour tous, ou en injectant en elle, une dimension de Manif pour le Travail pour Tous.

     

    Quand un pouvoir a gravement failli à toutes ses obligations et qu’il veut mettre le Peuple à genoux, il prend le risque que le Peuple le mette à pied et le punisse 

     

    Il existe toujours au-dessus des pouvoirs constitués un Pouvoir supérieur et constituant. Ce pouvoir reste le maître et le juge.

     

    Le jour venu, il peut renvoyer devant la juridiction qu'il constituerait certains individus qui, ayant eu à exercer les pouvoirs constitués, auraient manqué à leurs devoirs et posé des actions susceptibles d’être qualifiées de forfaiture et d'atteinte aux intérêts vitaux de la nation.  

     

    Face au fanatisme totalitaire, un Peuple peut prêter serment de ne plus se séparer sans avoir rendu sa Constitution à son pays   

     

    Le Peuple est fort. Non seulement il se compte et mesure à la fois la faiblesse du pouvoir et sa propre force. Mais plus encore, il sait qu’il EST le Peuple, qu'il a pour lui le droit et la raison, la justice et la tolérance, et qu’il lutte contre le totalitarisme. Il est déterminé à opposer une Résistance farouche, jusqu’à la Libération. L’Ordre Nouveau ne passera pas.

     

    Et maintenant ? - On peut désormais prévoir trois choses

     

    1. Le Peuple va se déclarer en permanence – ou, en tout cas, en manifestation permanente contre le Totalitarisme et pour la Liberté.

     

    2. Le peuple qui exige du Travail pour tous, et tous les participants de la Manif pour tous, vont un jour se rejoindre et faire Peuple ensemble, contre le totalitarisme libertaire.

     

    3. Les dates des deux prochaines manifestations seront probablement le 1er mai 2013 et le 14 juillet 2013.  »


    Henri Hude, l
    e 25 Mars 2013 

    http://www.henrihude.fr/